Poèmes d'Amu...

Pourquoi?
Pourquoi n'ai-je pas le droit de savoir?
Vous le savez tous, qu'importe les croyances, vous le savez.
L'Homme est libre, libre de savoir.
Alors pourquoi?

Vous êtes dotés d'yeux impurs,
D'yeux qui ne voient que ce qui les arrange,
D'yeux qui regarde droit devant eux.
Mais pourquoi?

Je sais, je pense avoir compris.
Vous n'êtes que de simples coquille vides,
Dépourvues de sentiments clairs.
Mais vous n'êtes tout de même rempli que d'un seul d'entre eux:
La Haine.
Voilà pourquoi.

Mais la question est toujours posée,
Je n'ai toujours pas eu de réponse.
Qui suis-je?

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Au revoir.
Voilà la seule chose que je puisse exrpimer interieurement,
Au revoir.

Adieu.
Tu n'es plus que cendres,
Cendres de celui que j'ai tant aimé,
Adieu.

Egoïste.
Je le suis, car je pense très souvent
Que tu m'as abandonné dans ce monde maudit,
Egoïste.

Et pourtant...

Bonjour mon amour,
Je suis à tes côtés pour la vie désormais,
Tu m'avait tant manqué...
Désolée d'avoir bousculé ta sérénité, mon amour.
Mais la corde pendue n'attendait plus que moi.

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Tout a bien changé depuis que tu t'en est allé...
Le monde morne ne cesse d'évoluer,
Mais moi je ne veux pas de cela.
Je ne veux oublier le temps de la joie.

Je me souviens encore
Des enfants aux rires mélodieux,
Les fleurs au parfums délicieux,
Qui se nourrissaient avidement du soleil d'or.

Désormais, le monde est gris,
Autour de moi, les cris fauves des chiens,
Chiens qui me font perdre petit à petit,
Ce qui n'était guère mes chagrins

Les entiments vifs et clairs de mon coeur,
Se sont envolés avec ton esprit,
Pourtant encore gravés dans ma mémoire,
Mais que les autres n'ont pluus soucis.

Mais moi je neux pas de cela,
Je ne veux oublier le temps de la joie.
Et c'est pour cela que de ce pas,
Je me décide à aller bousculer ton sommeil froid.


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Pourquoi prier Dieu,
Lorsque sur vous le sort s'est abattu,
Que la vie n'est plus un jeu,
Et que larmes et espoir sont confondus?

Pourquoi ces satanés sacrifices,
Lorsque l'on sait que le destin est tracé,
Qu'il ne reste que le précipice,
Qu'on choisi les dés si violement jetés?

A quoi servent tous ces affreux rituels,
Lorsque l'on est sûr d'une chose, d'une seule,
Et que l'on sait que vont vous pousser des ailes,
Quand vous apprendrez que Dieu...


C'est vous.